L’association Maroc Solidarité Médico-sociale (MS2) est une association nationale médicale et humanitaire à but non lucratif, « Venir en aide et porter une assistance (médicale, sociale, économique) à toute personne ou population vulnérable ». Parmi ses populations cibles, les personnes en migration. Zoom sur cette initiative. 

Crée en juillet 2016, l’association Maroc Solidarité Médico-sociale (MS2) vise « Venir en aide et porter une assistance (médicale, sociale, économique) à toute personne ou population vulnérable ». 

Plaidoyer pour accès sans discrimination 

« L’accès à la santé doit se faire sans distinction de statut administratif et pour toutes les populations migrantes ». 

ENASS.ma a rencontré Ghita Elberrad, coordinateur de projet à MS2 en marge de la rencontre de l’Observatoire marocain de la protection sociale (OMPS) sur la protection sociale des personnes en migration, tenu le 25 et 26 octobre 2024 et réunissant militants pour les droits humains, universitaires, syndicalistes, experts de la protection sociale.  Elberrad revient sur la vision de MS2 pour élargir la protection sociale aux migrants et l’accès à la santé. « L’accès à la santé doit se faire sans distinction de statut administratif et pour toutes les populations migrantes », plaide-t-elle.  

L’association MS2 met en œuvre différents projets à l’attention des populations vulnérables en particulier les migrants, les mineurs et les femmes victimes de violence.

Pour rappel, l’association MS2 met en œuvre différents projets à l’attention des populations vulnérables en particulier les migrants, les mineurs et les femmes victimes de violence. Son action comprend l’assistance humanitaire et l’inclusion socio-économique de ces populations, en coordination avec les institutions publiques, les ONGs et des bailleurs nationaux et internationaux.

Ce poste est cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du projet « Amélioration de l’accès et de la qualité des services de santé et de protection pour les migrants en situation de vulnérabilité à Rabat et à Oujda et dans leurs régions » ainsi que par l’Organisation international pour les migrations (OIM).